Jules Verne
L'École des Robinsons
Illustrations par L. Benett
Librairie Hachette, 1940
© Andrzej Zydorczak
I. Où le lecteurtrouvera, s’il le veut, l’occasion d’acheter une île de l’océan Pacifique.
II. Comment William W. Kolderup de San-Francisco fut aux prises avec J.-R. Taskinar, de Stockton.
III. Où la conversation de Phina Hollaney et de Godfrey Morgan est accompagnée au piano.
IV. Dans lequel T. Artelett, dit Tartelett, est correctement présente au lecteur.
V. Dans lequel on se prépare à partir, et à la fin duquel on part pour tout de bon.
VI. Dans lequel le lecteur est appelé à faire connaissance avec un nouveau personnage.
VII. Dans lequel on verra que William W. Kolderup n’a peut-être pas eu tort de faire assurer son navire.
VIII. Qui conduit Godfrey à de chagrines réflexions sur la manie des voyages.
IX. Où il est démontré que tout n’est pas rose dans le métier de Robinson.
X. Où Godfrey fait ce que tout autre naufragé eut fait en pareille circonstance.
XI. Dans lequel la question du logement est résolue autant qu’elle peut l’être.
XII. Qui se termine justeà point par un superbe et heureux coup de foudre.
XIII. Où Godfrey voit encore s’élever une légère fumée sur un autre point de l’île.
XIV. Dans lequel Godfrey trouve une épave à laquelle son compagnon et lui font bon accueil.
XV. Où il arrive ce qui arrive au moins une fois dans la vie de tout Robinson vrai ou imaginaire.
XVI. Dans lequel se produit un incident qui ne saurait surprendre le lecteur.
XVII. Dans lequel le fusil du professeur Tartelett fait véritablement merveille.
XVIII. Qui traite de l’éducation morale et physique d’un simple indigène du Pacifique.
XIX. Dans lequel la situation déjà gravement compromise se complique de plus en plus.
XX. Dans lequel Tartelett répète sur tous les tons qu’il voudrait bien s’en aller.
XXI. Qui se termine par une réflexion absolument surprenante du nègre Carèfinotu.
XXII. Lequel conclut en expliquant tout ce qui avait paru être absolument inexplicable jusqu’ici.